• Tu es avant tout sensuelle

    Avec ton porte-jarretelles

    C'est peu de dire mon émoi

    Devant tes jambes gainées de soie

    Qu'ils soient noirs ou qu'ils soient gris

    Tes bas sont avant tout sexy

    Quand ils font comme un écrin

    A ta douce peau de satin

     

    Quand tu ôtes ton pantalon

    Et tes jolis petits chiffons

    Tes dentelles et tes rubans

    Que tu mets sur le paravent

    Je vois ta belle anatomie

    Tu es belle et sexy

    Chez toi l'envers vaut bien l'endroit

    Quand tu retires tes bas

     

    Tu n'es pas une effeuilleuse

    Mais une fleur vénéneuse

    Quand j'effeuille tes pétales

    Moi qui suis un cérébral

    Je ne risque pas la prison 

    Quand tu retires ton jupon

    Non tu n'es pas une ingénue

    Mais un animal sans vertu

     

    Oui je peux bien me prosterner

    Devant tes charmes dévoilés

    Tu es pour toujours ma divine

    Tu es belle et tu me fascines

    N'en déplaise à tous les envieux

    Je serai toujours ton amoureux

    Tu es toujours mon égérie 

    Et moi je suis ton pygmalion

     

     

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  • Que veux-tu répondre au vent qui soupire,

    Au vent qui te dit le chagrin des choses,

    Le trépas des lis, des lilas, des roses,

    Et des clairs essaims gelés dans la cire ;

    Que veux-tu répondre au vent qui soupire ?

    Il dit qu'il est triste et las de conduire

    Le gémissement de tout ce qui souffre,

    De frôler toujours ce qui tombe au gouffre,

    De passer partout où la vie expire ;

    Que veux-tu répondre au vent qui soupire ?

    Lui répondras-tu qu'un cœur peut suffire.

    Un seul cœur humain chantant dans la joie,

    Pour le consoler de sa longue voie

    Sur les champs sans fin que l'hiver déchire ;

    Que veux-tu répondre au vent qui soupire ?

    Où trouveras-tu ce cœur qui désire

    Rester ce qu'il est en sa calme fête,

    Le cœur qui n'ait point de douleur secrète,

    Pour laquelle il n'est ni baume, ni myrrhe ;

    Que veux-tu répondre au vent qui soupire ?

    Sera-ce ton cœur, et faut-il te dire

    Que le vent prendrait sur tes lèvres closes

    Un chagrin plus grand que celui des choses,

    Et dans ton regard, un plus haut martyre ;

    Que veux-tu répondre au vent qui soupire ?

    Alors réponds-lui, de ton cher sourire,

    Qu'il ne frôle pas les âmes humaines,

    S'il ne veut porter de plus lourdes peines

    Que celles qu'il cueille en son vaste empire ;

    Que veux-tu répondre au vent qui soupire ?

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  • A quoi me sert le soleil sans toi
    Je préfère ta chaleur à la sienne
    Encore un printemps sans joies
    Où ta main manque à la mienne

    A la romantique saison s'éveille
    La nature fleurissant les coeurs
    Des amoureux de ses merveilles
    Aux chants mélodieux, charmeurs


    Des ritournelles, la vie est belle
    Un petit bonheur, que je savoure
    Le coeur lourd, mon âme chancelle
    Qui chagrine mes pensées d'amour

    Esseulée, rêvant assise sur un banc
    De baisers sur mes lèvres tendres
    Lorsque j'observe de doux amants
    Insoucieux de se faire surprendre

    Je souris de les voir ainsi heureux
    Me redonnant l'espoir qu'un jour
    Nous serons comme ces amoureux
    Enlacés, unis en un baiser d'amour
     

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  • Joue pour moi musicien 

    Une valse étourdissante 

    Dans un tourbillon de rêve 

    Glisser  vers l'amour 

     

    Joue pour moi musicien 

    Ce sensuel, paso-doble 

    Pour me séduire cavalier 

    Par tes mains virevolter 

     

    Joue pour moi musicien 

    Un langoureux tango 

    Où corps contre corps 

    Vibrent tous nos accords 

     

    Joue pour moi musicien 

    En boucle ,Stand by me 

    Serrés l'un contre l'autre 

    Jusqu'au bout de la nuit 

     

    Joue pour moi musicien 

    Fait pleurer ton violon 

    Au milieu des danseurs 

    Seule, pourtant je suis 

     

    Tu ne joues plus musicien 

    Pourquoi,  pleures -tu 

    Sourie, j'y reviendrais 

    Au bal de mon cœur 

     

    Joue pour moi musiqcien

     

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  • Avant l'été 

     

    Le joli mai chasse les poussières de l'hiver 

    Et l'aube vient lécher les couleurs de l'été 

    Réveillant les maisons laissées aux maux divers 

    Posant sur l'art du temps, un baiser éclairé 

     

    Le clocher au bord du ciel, sonne et carillonne 

    Allumant de cris et de vies, tout le village 

    Les jardins se chantent, effaçant le monotone 

    Vent, souffle parfumé des lenteurs d'un autre âge 

     

    Des buissons verts sur les collines, brillent bien 

    L'herbe mouillée est scintillante de beauté, 

    Souriant aux baies nouvelles et sauvages du chemin 

    Qui s'en va vers d'autres jours de sérénité 

     

    Et l'aube guette l'été qui pénètre aux bois, 

    Avalant les ombres et habillant les maisons, 

    Devant ces rayons dorés, nous gardons la foi 

    Qui jouit des beautés des fleurs et des papillons 

     

    Nous laissant au cœur, mille et un endroits de prière 

    Permettant à nos âmes, l'image des bonheurs 

    La paix des jours heureux, et le chant de la terre 

    Dissimulés dans les battements de nos cœurs ... 

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  • Qu'il est le long le chemin qui mène à toi 

     

    Tu me poursuit, jour et nuit inlassablement 

     

    Tes pensées d'amour arrivent jusqu'à moi 

     

    Puissantes,  je les sens,  je les ressens 

     

    Qu'attends-tu pour me parler sentiments 

     

    Dévoiles-toi, mets toi à nu devant moi 

     

    Je te rêve, je t'espère, je me languis 

     

    Oseras-tu un jour, faire le premier pas 

     

    Peut-tu comprendre tant de souffrance 

     

    Dans ma très grande solitude pesante 

     

    Que crains-tu, que de toi, je me moque 

     

    Hésites-tu, de peur de ne pas me plaire 

     

    Ce qui m'importe , le contenu de ton coeur 

     

    J'appelle ta tendresse, cri de ma détresse 

     

    Besoin de tes bras, corps contre  corps 

     

    Les yeux dans les yeux, dans un  silence 

     

    dire je t'aime, simplement se comprendre 

     

    Dépêche toi, viens à moi, avant que le temps 

     

    Nous éloigne, avec des regrets dans l'âme 

     

    FAIT LE PREMIER PAS 

     

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  •  De désir t’aimer,    

    ----------  

     Je devine ton regard coquin  

     Ton sourire joyeux du matin  

     Sais tu que j'ai envie de t'embrasser 

     Et couvrir ton corps de baisers ? 

      

     Tu es cette onde aux doux reflets  

     Dans laquelle j'aimerais y plonger  

     Presque la senteur des bois et forêts 

     Je hume ta mousse perlée de rosée  

      

     A la découverte du charme des sentiers 

     De ton corps aux reliefs si désirés 

     Je vagabonde d'amour sur ton cœur 

     Et t'enlace d'un nuage de douceurs  

      

     Je trouve le chemin de tes lèvres  

     Ma bouche s'y arrête comme une fièvre 

     Et de suaves et langoureux baisers  

     Nos corps se mêlent dans notre intimité  

      

     Les glissements furtifs de nos mains  

     Nous conduisent vers un désir sans fin  

     Alors ivres de caresses passionnées 

     Nos âmes rejoignent la volupté  

       

     Nous sommes au monde si éloignés 

     Perdus dans notre éden de pensées  

     Depuis la galaxie jusqu'aux étoiles  

     D'amour mon corps sera sur toi un voile 

      

     Je n'ai jamais cessé de t'aimer  

     Amour tu es ma force et ma volonté  

     Et sur tes lèvres de bébé boudeur  

     D'un doux baiser je te livre mon cœur 

     

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  • Pour le jour où l'on fête les mamans 

    Ne sais quoi m'offrir, encore hésitante 

     

    Cette année ma chérie, je vais te l'offrir 

    Ce cadeau particulier, mon journal intime 

     

    A l'intérieur, tu pourras y lire, ma vie passée 

    Ce que je t'ai inculqué, mes valeurs sacrées 

     

    Mes pensées, mes rêves, les plus secrets 

    Les souvenirs parfois tristes, les plus gais 

     

    Rappelles-toi, combien, il t'aimait ton papa 

    Rappelles-toi, mes souffrances, mes tracas 

     

    Tu as eu conscience, qu'elle fut ma peine 

    Lorsque ma nuit pour lui, n'était que veille 

     

    En dernière page, t'y trouveras ma prière 

    Souhaits,  que je te demande d'exaucer 

     

    Le  destin,  incertain, nous joue des tours 

    N'essayes pas de le contrarier à ton tour 

     

    Si en moi, un petit crabe y fait son nid 

    Qu'il le fasse, et, même aussi des petits 

     

    Ne penses surtout pas que je sois lâche 

    Que pour toi, je ne veuille pas combattre 

     

    Mon corps décharné, t'épargner la vision 

    Le triste refrain  de mes  lamentations 

     

    Ne les laisse pas me ramener à la vie 

    Pas d'acharnement, pour peu de survie 

     

     

    Ce journal intimes, un trésor inestimable 

    Amassé dans mon cœur, ton bel héritage 

     

    Enrubanné de mes caresses et tendresse 

    Sur un ti 'cœur y est écrit en lettres d'or 

     

    AMOUR 

     

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