C'est tellement vrai; un geste, un mot, un simple regard qui bouleverse, une femme que l'on croise....Sur ce thème Brassens à écrit une magnifique chanson "les passantes".

Nous restons toujours dans l'attente d'un regard, d'une attention, d'un mot gentil, d'une nouvelle aventure que l'on ne vivra que dans son imagination car trop dangereux;   celle très belle que l'on vit déjà avec une personne magnifique ne suffit pas toujours, j'allais dire jamais......L'heureux compagnon d'une reine de beauté finira par la tromper.

Victor Hugo le séducteur sait de quoi il parle; beaucoup de femmes lui ont accordé plus d'une minute mais elles étaient consentantes; il est vrai que "metoo" n'existait pas à l'époque.

• • NGcréation

    Vendredi 15 Décembre 2023 à 11:25
    

    Le sourire est sans aucun doute la première arme de séduction.Au delà de l’apparence, le premier échange qui se crée entre deux êtres n’est pas un mot ou un geste mais bien un regard. C’est sans doute pour cette raison qu’on apprenait aux jeunes femmes de bonne famille à baisser les yeux lorsqu’un galant les observait !Nos postures sont bien sûr également très révélatrices, la manière de croiser les jambes, de pencher le buste, de balancer nos cheveux. Mais tout ce langage corporel est plus ou moins ressenti par notre entourage. La démarche est tout aussi importante, la manière de marcher nous révèle. L’orgueilleuse se tiendra le buste en avant, au contraire l’inhibée, la tête dans les épaules, la sensuelle ondulera des hanches…Certains point sont similaires pour un homme... Bon week-end Henri 

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Très bien exprimé! Vous connaissez la femme sur le bout des doigts !

Pour un homme en effet, une femme qui soutient son regard, c'est la flèche de cupidon, c'est une invitation. Le corps et les attitudes, les expressions du visage  trahissent les sentiments. A propos du visage, la physiognomonie si elle n'est pas une science  exacte, comporte une part de vérité. Il faut être très prudent dans ce domaine, celui de "la gueule de l'emploi" ou du délit de faciès. Une expression de mépris, à force d'être répétée finit par ne plus s'effacer.

A propos d'attitude, je repense tout à coup à Léon Paul Fargue et à ses bistrots.

Bonsoir Nicole