• Rien ne s'explique, tout se vit...

    En amour comme en amitié,

    tout s'offre, rien ne se demande !

    Le coeur n'a pas besoin de justificatifs.

    Rien ne s'explique...

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  • Les choses en leur temps ont la saveur des fruits en leur saison

    Anne Barratin- (Chemin faisant)

    Les choses..

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  • Les pieds (poème humour)

    Avec mes pieds, je n'ai que des déboires

    Je les entends se chamailler tous les soirs

    Chacun, à son tour, vient m'exposer ses griefs

    Car après tout c'est moi le chef

    Entre eux deux, je ne sais lequel croire

    Ils me plongent vraiment dans le désespoir

    J'ai souvent entendu le droit me dire

    Sans moi, tu ne pourrais plus courir

    Alors le gauche lui dit tout en colère

    Sans mon concours, rien ne peut se faire

    Me donner peu d'importance, n'est pas sympa

    Même si ce n'est pas moi qui guide les pas

    Je suis toujours là pour le réveil du pied gauche

    On fera appel à moi chaque fois que ça cloche

    A ça, le droit répond, d'un air moqueur

    Moi, je n'apporte que la bonne humeur

    Quand, par hasard ,j e serre les jambes

    Je fais vraiment éclater une bombe

    Car mes pieds ne supportent pas le contact

    Quiconque dirait qu'ile manquent de tact

    Se voir de si près les frappe et les agace

    Il me semble même voir leurs grimaces

    Un doigt qui bouge, ça provoque

    Alors les petits défauts, ils les évoquent

    Même les cicatrices se font alors la guerre

    Certaines rappellent leurs causes et en sont fières

    Quand je décide d'accélérer l'allure

    Les mettre d'accord, n'est pas une sinécure

    Le droit voudrait bien allonger le pas

    Mais pour le gauche, ce n'est pas le cas

    Je m'énerve, je suis à bout de patience

    Je leur ordonne de hâter la cadence

    Puis j'attends ce qu'ils peuvent bien me dire

    Dans mon esprit, je les vois alors sourire

    Pour me narguer, ils jouent l'indifférence

    Ils me rappellent que les avoir, c'est déjà une chance

    Confus, je ne sais quoi répondre à tout ça

    Je veux tout simplement faire des pas

    Alors je me laisse aller dans leur bon vouloir

    Marcher, tant bien que mal, j'ose encore y croire

     

    Mosfan

    Les pieds ...

    Les pieds ...

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  • ALLEZ VIENS…

    Qui sera là, matin, pour m’offrir un baiser, effacer mon chagrin d’un sourire apaisé ?

    Qui posera sa bouche tendrement sur la mienne pour soulager ma peine quand la douleur me touche ?

    Qui m’offrira son corps comme un cadeau des cieux, comme un cadeau des dieux pour conjurer la mort ?

    Est-ce toi dont je rêve depuis que nos deux mains, en une étreinte brève, se sont tenues soudain ?

    Je n’ai pu oublier ce brasier dans mon corps qui depuis n’a cessé de brûler plus encore.

    Je n’ose pas l’avouer mais je nourris l’espoir que tu viennes frapper à ma porte, un beau soir.

    À peine aurai-je ouvert, le cœur à découvert, tu me prendras la main et diras : allez, viens…

    V. H. SCORP

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  • Autrefois, j’étais belle, j’attirais les regards,
    Sur mon glorieux passage, les hommes se retournaient,
    Le monde et ses égards, oui, tout m’appartenait !

    À présent, je suis vieille, j’ai perdu mon pouvoir.
    J’ai reçu bien des roses ; leurs épines m’ont blessée,
    Après les jours heureux suivaient les nuits glaciales,
    J’ai affronté déserts, tempêtes, et chacals,
    Et sans jamais plier, j’ai lutté, supporté.

    Mais tous ces coups du sort, reçus en pleine face,
    En laissant sur ma peau, d’indélébiles traces,
    Ont fortifié mon âme, comme un muscle qui travaille.

    Elle devenait plus belle, après chaque bataille !
    Et vous tous qui pensez, sa beauté s’est fanée,
    Emportée par le temps, eh bien vous vous trompez,
    Car de cette sombre pierre qu’était mon cœur, avant,
    Les intempéries de la vie en ont fait un diamant.

    Derrière mes yeux, délavés par tant de larmes versées,
    Et mes paupières ridées, usées par les tourments,
    Se cache mon âme...
    Regardez-la, et vous verrez,
    Comme je suis belle, bien plus belle… qu’à vingt ans !

    Martine Hadjedj 

    Autrefois..

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  • Finalement je crois qu’il faut surtout ne rien faire... pour être aimé !

    Nous passons nos vies à essayer,
    De paraître plus beaux,
    Plus belles,
    Plus intelligents
    Plus intelligentes...

    Mais j’ai compris 2 choses :

    Ceux qui nous aiment,
    Nous voient avec leur cœur,
    Et nous parent de qualités,
    Au-delà de celles que nous avons vraiment.

    Et ceux qui ne veulent pas nous aimer,
    Ne se satisferont jamais,
    De tous nos efforts.

    Oui vraiment, je crois qu’il est important
    De laisser nos imperfections en paix !
    Elles sont précieuses pour comprendre,
    Ceux qui nous voient avec le cœur...

    ~Catherine Testa

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  • Je ne veux plus me nier, nier mes sentiments, mes besoins, mes attentes...
    Je veux être respectée, écoutée, entendue.
    J’ai le droit de respirer, de me dire.
    J’ai le droit de dénoncer, de penser, de crier.
    J’ai le droit d'exister !

    Je veux vivre debout, être en paix avec moi-même.
    Je veux grandir, changer, m’aimer.
    Je veux rêver, rire, m’épanouir.
    J’ai besoin d’air, j’ai besoin de m’écouter.
    J’ai besoin de décider pour moi, avec moi, en fonction de mes besoins à moi, de ce que je veux faire de ma vie.

    J’en ai marre de vivre en fonction des autres pour être aimée.
    J’en ai marre de faire des courbettes pour acheter la paix ou ne pas être seule.
    Je choisis de vivre, de vivre ma vie.
    Je choisis de vivre mes sentiments, mes émotions, mes rêves, mes espoirs.

    Je veux me vivre jusqu’au bout, telle que je suis.

    Je me réserve le droit d’essayer, de me tromper, de recommencer, d’essayer encore et de réussir.

    Pendant la transition, j’accepte ma souffrance, ma déception.
    J’accepte mon insécurité, mon désespoir.
    J’accepte ma colère contre les autres.
    On ne m’avait rien promis.

    J’accepte ma colère contre moi, de m’être si longtemps niée et oubliée.
    Je suis en sevrage, car je sais qu’avec le temps, ces sentiments vont s’atténuer et disparaître, remplacés par le pardon.

    Je sais qu’avec le temps, mon cœur va guérir d’avoir mal aimé.
    Et peut-être qu’avec le temps, j’oserai à nouveau tenter l’expérience d’aimer et d’être aimée... 

    Nicole Charest 

    je ne veux plus ...

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  • EN PAIX. Tout près de mon crépuscule, je te bénis, vie, parce que tu ne m'as jamais donné d'espoir déçu, de travail injuste ou de chagrin immérité. Parce que je vois au bout de mon parcours difficile que j'ai été l'architecte de mon propre destin. Que si j'extrayais des choses du miel ou du fiel, c'était parce que j'y mettais du fiel ou du miel savoureux : quand je plantais des rosiers, je récoltais toujours des roses. C'est vrai, l'hiver suivra ma fraîcheur : mais tu ne m'as pas dit que mai était éternel ! J'ai sans doute trouvé longues les nuits de mes chagrins ; mais tu ne m'as pas seulement promis bonne nuit ; et à la place j'en ai eu de saintes et sereines... J'ai aimé, j'ai été aimé, le soleil a caressé mon visage. La vie, tu ne me dois rien ! La vie, nous sommes en paix !

    Armado Nervo - poète Mexicain

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